Cet élastique va d'une main à l'autre, et c'est dans chacune de celles-ci que doit, logiquement entrer"à force" le noeud de chaque extrémité.
Et c'est là que le bât blesse !
Car notre ami Jojo, comme on le dirait dans d'autres milieux, n'est point un perdreau de l'année, il a une bonne soixantaine d'années derrière lui, et, donc, son plastique aussi, qui n'a point résisté à la pression du noeud élastique, et, à chaque main, a craqué sèchement.
Ce trou agrandi posait problème, il a été résolu, de chaque côté, par une de ces bonnes vieilles épingles à nourrice, solide, passée dans le noeud, et qui se place d'elle-même en travers de l'ouverture.
Et c'est ainsi que l'heureux patient guéri est reparti gaiement vers ses nombreux futurs essayages !
